Là où l’herbe est plus VERTE…

« Là où l’herbe est plus verte » articule trois points de vues : celui de la recherche scientifique, celui de la mise en forme et de l’expérience artistique , enfin celui essentiel et actif (plus que participatif) du spectateur.  Après une phase expérimentale (2018-2019) de ce travail de collaboration avec le LAAS, nous poursuivons cette recherche en tressant toutes ces directions (formelles, scientifiques et humaines) et permettre ainsi la diffusion de ces évènements.  Alors que l’I.A, AR, AV …. nous font basculer sans retenue dans l’écran, nous proposons en regard une recombinaison des gestes naturels avec l’algorithme, un corps engagé dans sa totalité, en d’autres termes une construction couplée avec une analyse de la relation.  La veste monopixel portée par les participants dans les phases antérieures mute. : C’est aujourd’hui, avec les prototypes que nous commençons à construire, un objet transitionnel, un cube que l’on s’approprie mais qui peut se transmettre pour mieux acter ce plongement dans la relation, pour mieux signifier cet espace nécessaire du « commun » qu’il convient de doubler par une observation trans-personnelle pour le rendre actif.  Le dispositif, tout autant que la nature de l’objet, fait entrer l’ère du numérique dans une. boucle plus ancienne celle du totem ou du doudou selon…